Mon Opticien est au 21
Mon Opticien est au 21
Bonjour Gilles !
Qu’est-ce qui vous donne envie de vous lever le matin ?
Je vis chaque nouvelle journée comme un cadeau. Un peu comme le tour de manège en plus quand on a attrapé la queue du Mickey ! Si je me lève avec autant d’envie, c’est sans doute parce j’ai eu une grave maladie enfant.
Qu’est-ce qui est indispensable à votre équilibre ?
Mes pieds, au sens propre comme au figuré ! J’aime partir marcher seul, pour me ressourcer et opérer une sorte d’introspection. Je reviens avec encore plus de curiosité pour les gens.
Quel don aimeriez-vous avoir ?
Le pouvoir de pacification. La capacité à créer une harmonie globale, pour vivre sur une planète en paix pour tout le monde.
Quel est votre péché mignon ?
Comme beaucoup, la gourmandise. Mes deux plats préférés sont le kig ha farz et le Paris-Brest. Un penchant certainement un peu culturel militant, en lien avec mes origines bretonnes ! Je suis aussi gourmand d’apprendre : je déteste ne pas comprendre.
Comment étiez-vous à 10 ans ?
Encore en reconstruction. J’ai le souvenir de me sentir protégé, comme dans un cocon, dans ma famille comme dans ma petite école rurale. Tout a changé à l’entrée en 6e et les premières confrontations à l’autorité.
Quelle est votre sonnerie de téléphone portable ?
Je n’ai pas de portable. Pourquoi en aurais-je un ? Je n’en vois pas la nécessité. Je suis joignable à la boutique. Ne pas avoir de portable est pour moi une forme suprême de liberté. Mais si je devais choisir une sonnerie, ce serait le doux son de la harpe.